All informations for Ubuntu Studio installation

Après les éternels débat stériles éternels sur les licences libres appliquées à l’art, dont certaines comme les Creative Common sont jugées non libres par les codeurs, qui, rappelons le, sont les initiateurs de ces fameuses licence libres… j’en ai marre de revoir régulièrement ceux qui pronnent le fameux RTFM relancer le fameux débat auquel il y a déja tant de réponses sur les forum et mailings lists sur le net, et qu’ils pourraient justement prendre le temps de lire une bonne fois.

Rootix, créateur de la radio « Libre Attitude » et modérateur sur LinuxFR a lancé un débat sur le forum de Jamendo suite à une réaction encore une fois postée par un codeur pour tenter de remettre les artistes et les licences libres qui leur ont été créés par Creative Common « à leur place », comme on dit.

Je vous propose donc de lire ma réaction à ces interrogations, synthèse des débats animés auquel je participe régulièrement avec toujours un brun de ras le bol en tant qu’artiste musicien, bassiste dans un groupe de rock, et grand amateur du web, quoique sans être ce qu’on appeler un geek.

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En studio – 1 – repérage et installation

Salut à toutes et à tous, fidèles lecteurs et lectrices que j’ai beaucoup délaissés.

Avec l’été et les journées plus longues, et après une année pleine de musique et de concerts (que l’on souhaite plus nombreux l’année prochaine), Irae, le groupe de rock dans lequel je suis bassiste, a pris comme décision d’enregistrer 2 des titres les plus populaires dans les concerts de ces derniers temps.

Bref, après beaucoup de prospection, notamment de Greg, nous voici donc en train de nous atteler à cette tâche au combien importante à nos yeux. En voici les premiers moment, à savoir l’installation du matériel et la découverte du studio ce soir, à travers quelques photos.

Le matos d’enregistrement et mixage, Soundcraft, Pro-tools et Apple sont à l’honneur, avec quelques pré-amp sympathiques genre TLAudio :

André en train de monter la batterie dans la cabine :

Et pour finir, la vue depuis la cabine dans le studio (pas si intéressant que ça, finalement ):

Il est à noté que le studio dispose d’une autre cabine, mais que je n’ai pas prise en photo pour le moment.

A bientôt ce w-e pour plus d’aventures, j’essaierai de bloguer le soir ou de temps à autre.

Mon groupe de rock

Un petit billet pour signaler la mise en ligne de la nouvelle version du site web de mon groupe de rock.

Il y a encore du boulot, mais vous pouvez déjà lire la présentation du groupe, écouter quelques morceaux, et tout ça. Si jamais vous avez des pistes pour un script php pour envoyer des mail depuis un formulaire, qui soit libre et qui fonctionne sur tout hébergeur, alors je suis preneur, contactez moi par mail.

Je travaille aussi sur un forum, et puisque punbb semble un peu trop simple pour ce que je veux faire, je vais voir si phpbb serait plus pratique.

De nouveaux morceaux sont en création en salle de répète, si vous avez envie de venir nous voir, c’est possible. On verra plus tard pour ce qui est d’en mettre une version en ligne.

Bien à vous, cher lecteurs, et à vos oreilles.

Concert Jamendo à Paris : repartez avec le concert sur vos clef usb !

Si vous avez envie d’assister à un concert de rock, et qui plus est de musique libre de droit, alors vous n’avez qu’à venir au « Jamendo Live Tour ».

Ça se passe le vendredi 16 septembre de 19h à 23h (cela permet a tous de rentrer chez soi pour les plus sages, ou de commencer la soirée pour les grands fêtards) à Paris à « La Marquise ». L’entrée est de 10 Euros symboliques pour assurer le bon fonctionnement de la soirée.

Vous pouvez venir avec votre clé USB ou votre baladeur mp3 pour repartir dès la fin du concert avec toute la soirée en poche, pour ré-écouter chez vous.

Pour plus d’informations sur le concert, écouter la musique des groupes présents au concert avant celui-ci, et acheter vos places en prévente à 10 €, aller voir http://www.jamendo.com/index.php?s=jamendolive_20050916 .

En participant à ce concert, vous sponsorisez de jeunes musiciens qui acceptent de diffuser leur musique via le net pour se faire connaître et remarquer. Alors diffusez ce message par mail ou autre autant que vous pouvez et venez nombreux !

Vous pouvez la télécharger librement et gratuitement en toute légalité toute la musique que vous aimez sur http://www.jamendo.com .

Takamine EG512C

corps tête

Rapidement :

Une très bonne surprise lors de l’essai : outre le fait que je n’avais jamais joué sur une fretless, la profondeur du son et sa « puissance » m’ont marqué. Je parle de puissance, dans la mesure où il est difficile de trouver des basses accoustiques que l’on entend si on joue avec un ou deux guitaristes. Et c’est le cas de celle là.

Takamine : lutherie asiatique, les qualités accoustiques de leurs instruments n’est plus à démontrer, ainsi que pour les pré-amplis de leurs électro-accoustiques. Avec une large gamme de guitares, et 5 modèles fantastisques de basses, dont les séries B et TB (non, je n’en ai pas, trop chères pour moi, mon fils), Takamine est aujourd’hui un grand dans les fabricants de guitares accoustiques.

Ce que j’aime dans cette basse :

Elle est fretless, ou plutôt, elle a été défrettée par mon magasin de guitares préféré, à Lyon. Certes, les cases restes marquées, car la touche n’a pas été complètement changée. Mais le son et le confort de jeu sont bien là. Je tiens à préciser que dans une pièce, je peux jouer avec deux guitares, un harmonica, et un chanteur, on m’entend. En extérieur, c’est moins évident. Mais c’est déjà une belle performance, compte tenu qu’elle est largement plus transportable qu’une contre-basse.

Les bois sont plutôt classiques, la finition est soignée, plus d’ailleurs que sur ma Noguera. La caisse, dérivée de la série G des guitares Takamine, présente une belle et solide table d’harmonie. Il en résulte un instrument assez équilibré, relativement léger au regard de sa grande taille, mais comme je viens de le dire, elle est encombrante. La poser sur vos genoux vous permettra de vous en rendre compte rapidement. Le manche, quand à lui, est fin. On a presque la même jouabilité que sur une électrique, et c’est agréable. Mais ce n’est pas qu’un avantage : le fait qu’elle soit défrettée rend le manche un peu plus sensible à la traction des cordes, attention donc à ne pas monter n’importe quel jeux. Au delà d’un 50-105, le truss rod est inefficace.

Elle est équipée d’un pré-ampli avec un équalizer basses / mediums / aigus, d’un « Bass Booster » et d’un « Bypass » pour aller directement à l’ampli sans pour autant avoir à enlever ses réglages favoris. Avec le « Bass Booster », vous décoiffez n’importe quel pré-amp d’ampli, à utiliser donc avec modération. Il vaut mieux utiliser le « Bass Boost » pour brancher directement la basse sur une console, le technicien son s’embêtera moins à sortir un vrai son de basse. Branchée sur un ampli pour accoustique, pas surprise, vous avez le son de la basse. Banchée sur un ampli pour électrique (attention au gain), vous avez ce qu’on appelle « un gros son » !!! Mais tout de même, je vous rappelle qu’il s’agit d’une accoustique, donc un son net qui s’arrête rapidement, contrairement à une basse « Solid Body ». On a plus un « Doumm » qu’un « Doouuuummmmmmmeeeeee », pour illustrer.

Montée avec des cordes GHS « Tape Wound » 50-105, on a le même genre de son qu’une contre basse ou qu’un violoncelle. Jamais plus je ne mettrais des cordes en bronze sur une basse accoustique. Bref, outre le fait que ces cordes sont plutôt jolies et ont un touché particulier, puisqu’elles sont lisses (elles interpellent le néophite comme l’expérimenté), elles ont une profondeur dans les graves qui rend le son de la basse unique. A noter, comme je le signalais, je suis au taquet du tross rod, et c’est un peu juste en terme de réglage du manche, même s’il est droit. Dommage que ces cordes n’existent pas avec une tension moindre.

Conclusion :

Vous l’aurez compris, si j’ai cette basse, c’est pour jouer partout où et quand il n’est pas possible d’emmener du matos électrique. Chez les amis, parfois en plein air (elle a déjà jouer à Taizé, par exemple), ou quand j’ai la flemme de brancher du matos. Je l’utilise pour jouer tout style, bien qu’il faille adapater les lignes de basses dans certains cas. Le style dans lequel elle prend tout son sens, c’est bien entendu le jazz. Là, je vous laisse rêver du résultat.
PS : bien sûr, un énorme merci à mon frangin de me l’avoir offerte en revenant d’un stage en Suisse où il a eu des indemnités de nabab, à la grande époque de mon groupe de rock, quand on jouait souvent ensembles.